mardi 31 mai 2011

SALVATRICE BAHINDWA, une fille passionnée par les droits humains


Salvatrice lors d'une sensibilisation sur les droits des enfants
S’il y a des filles qui répondent présent à l’appel de la promotion des droits humains, il faut compter avec « Salva ». Le couple Emmanuel BAHINDWA et Constance BAGAYA ne s’est pas trompé en donnant le prénom de « Salvatrice » à cette jeune fille dont l’engagement pour les valeurs suprême n’est plus à démontrer. Son leitmotiv d’apporter sa contribution pour combattre des antivaleurs et être soi même un model pour la jeunesse congolaise laisse résonner le refrain de son patriotisme et surtout son humanisme.
Deuxième d’une famille de quatre enfants, cette digne fille de la République Démocratique du Congo est née au Rwanda voisin le 12 avril 1989 pendant que ses parents étaient en mission de service. 

Après ses études primaires au Complexe scolaire le Bambin et secondaires en littéraire au lycée Bolingani à Kinshasa, elle est actuellement étudiante à la faculté de droit de l’Université Protestante au Congo.
 Membre dynamique au sein du club jdh de son université, Salva a un parcours élogieux : plusieurs fois invitée au grand débat des jeunes sur l’émission télévisée « Cogito » où elle intervient brillamment et le plus souvent seule fille face à plusieurs garçons. Elle œuvre par ailleurs au sein de la Ligue pour la promotion des valeurs. Si elle fait partie des pionniers du programme universitaire de journalistes pour les doits humains (jdh), elle se démarque  non pas seulement par son caractère fort, mais aussi et surtout par un sens de responsabilité presque légendaire. Il faut dire que quand on veut donner un ton aux droits humains, salvatrice prête sa voix, sa passion, son temps, son énergie et surtout que son talent d’oratrice doublé de charisme mi-masculin, mi-féminin a plus d’une fois hypnotisé l’auditoire au cours des conférences ou autres diverses activités des clubs jdh à Kinshasa (RDC).
« C’est le contexte de notre pays, dit-elle, caractérisé par plusieurs violations des droits humains et particulièrement les droits des enfants et des femmes, qui fait chanter en moi l’hymne de cette lutte ». L’ancienne Directrice, de jdh au Congo, Emily Jacquard, n’a pas eu tort d’exprimer à plusieurs fois son admiration pour cette fille passionnée par les droits humains.
                                                                                                              

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